• Fragments d'un désir sans mots

     

    Je lui glissai son slip, me penchai vers sa fente grande ouverte et posai ma langue sur son petit bouton d’amour. Lentement je léchai puis suçai avec les lèvres puis me mis à le mordiller doucement. Elle poussa un long gémissement qui fut interrompu par la sonnette du magasin.

     

    • — Zut ! J’ai oublié de refermer.
    • — Ce n’est pas la sonnette du magasin, répondis-je, c’est celle de la porte. Tu avais bien fermé puisque je suis entré par derrière.
    • — Alors c’est Lili. Elle est en avance, elle avait dit trois heures.

     

    Elle se leva, laissant son slip sur le divan. J’entendis la porte s’ouvrir et se refermer et des éclats de rires. Pour garder contenance, j’avais refermé ma braguette. Les deux femmes entrèrent et je reconnus tout de suite la femme que j’avais épiée l’autre jour. Grande, les cheveux châtains coupé courts, elle portait une courte blouse bien décolletée et un peu transparente et une jupe légère à volants qui se soulevait au moindre mouvement des hanches, découvrant une petite culotte rose. Je me levai pour la saluer. Elle m’embrassa sur la bouche, me serrant contre elle, comme si nous étions de vieux amants.

     

    • — Tiens, dit-elle à Josée, tu as déjà retiré ta petite culotte ? J’ai l’impression d’arriver en pleine cérémonie, vous ne m’avez pas attendue.
    • — Nous nous câlinions un peu en t’attendant. Ne sois pas jalouse, nous ne sommes pas allés bien loin, juste quelques petites caresses. Je me préparais à lui sucer la bite et lui me titillait le clito avant de le sucer.

     

    Les deux femmes s’installèrent sur le divan et m’invitèrent d’un geste à m’asseoir entre elles. Bien calé, j’entourai leurs épaules de mes bras, laissant pendre ma main qui frôlait leur poitrine et je me mis à jouer avec les bouts des seins.

     

    • — Oh ! Oh ! Tu ne perds pas de temps, toi, dit Lili. Je crois que ton amie t’a déjà préparé à ma visite. D’ailleurs, elle m’a dit beaucoup de bien de toi et surtout que tu baisais très bien. Elle m’a expliqué que tu lui avais fait une superbe minette qui l’avait fait sauter au plafond. Il paraît aussi que tu as une jolie bite très courageuse et très endurante. Tu vois que Josée m’a bien renseignée sur tes talents.

     

    Sur ces paroles, elle se leva, tourbillonna sur elle-même, soulevant sa jupe et découvrant sa petite culotte rose, si étroite qu’elle laissait passer les poils de sa chatte et que le fond du slip s’insinuait entre les grosses lèvres.

     

    • — Alors, je te plais ? me demanda-t-elle.
    • — N’est-ce pas qu’elle est jolie, ajouta Josée. Regarde bien sa chatte, tu verras que je ne t’ai pas menti quand je t’ai expliqué qu’elle était longue et bien ourlée. Et ses seins !
    • — Oui, vous êtes toutes deux superbes et je ne peux dire laquelle me plaît le plus.
    • — C’est flatteur pour nous, dit Lili en riant. Maintenant tu vas être comblé. Regarde-moi. Tu vas me voir de près. Toi, pendant ce temps-là, tu te caresses la pine, j’aime bien voir un homme qui se branle, cela me rend dingue.

     

    Elle se plante devant moi, pendant que Josée s’est rapprochée de moi, prenant ma main et la glissant entre ses cuisses doucement écartées en m’invitant à lui caresser la chatte. Avec des gestes mesurés, Lili déboutonne sa blouse puis sa jupe, tandis que Josée a ouvert ma braguette, baissé mon slip et sorti ma queue qu’elle branle lentement.

     

    • — Tu m’excites avec ta pine gonflée, dit Lili en glissant une main dans sa culotte pendant qu’elle enlève son soutien-gorge, découvrant deux seins superbes, fermes aux mamelons comme des fraises posées sur une aréole rose. Puis, elle fait tomber son slip et je vois une chatte aux poils châtains rasés sur le bord des grosses lèvres pour montrer une fente très longue d’où sortent les petites lèvres pendantes de deux centimètres.
    • — Alors, toi, qu’en dis-tu ? N’est-ce pas qu’elle est belle, ma chatte ! Tu peux comparer avec celle de Josée. La mienne est plus longue mais son clito est plus gros quand il sort et le mien est plus long. Regarde, je vais le faire sortir.

     

    Ce disant, elle écarte ses lèvres avec ses doigts et fait sortir son clito. C’est vrai qu’il est plus mince mais il est aussi plus long. Il mesure bien un centimètre et demi. De toute ma vie, je peux le dire, je n’en n’ai jamais plus vu d’aussi long.

     

    • — Il te plaît ? Suce-le fort pour me faire sauter au plafond, comme tu as fait avec Josée. Elle m’a raconté comment tu faisais. Vite, j’ai envie.

     

    Je me mets donc à l’ouvrage. Josée ne veut pas être en reste et, tandis que je joue de la langue avec le clito de Lili, elle lui suce les seins tout en lui caressant les fesses, glisse deux doigts entre et commence à lui caresser la chatte. Lili râle, gémit de plus en plus, lorsque Josée a saisi ma bite et la masse, aidée par Lili qui a, elle aussi, mis la main à ma queue. Lili la repousse.

     

    • — Donne-moi ta pine à sucer, j’adore un long manche dans ma bouche. Mmmmmmm ! Qu’elle est bonne ! Tu la sens durcir dans ma bouche ? Dis ? Tu la sens ? Dis-moi que tu la sens ! Dis-moi que je te fais du bien à ta bite ! Hein que c’est bon ce que je te fais ! Dis-moi quelque chose, oui ou merde ! Mmmmm ! Comme j’aime cette grosse queue qui m’emplit la bouche !
    • — Oui ! C’est bon ! J’aime ta langue sur mon gland. Suce-moi plus fort ! Oui ! Plus fort ! Comme tu me fais du bien !

     

    Je n’abandonne pas Josée pour autant. Elle s’est accroupie et me présente sa chatte. De ma main libre, je joue avec son clitoris tout gonflé. Les deux femmes gémissent de concert tandis que je sens que je vais décharger dans les doigts de Josée qui continue de plus belle à me branler. Je me relève avant l’explosion et j’entraîne les deux femmes à l’étage. Arrivés dans la chambre, je m’étends sur le grand lit, la pine dressée comme un « I » tandis que Josée et Lili se mettent à s’embrasser à pleine bouche.

     

    • — Caresse-moi, ma grande, dit Lili, tu connais bien ma chatte, puisque je te l’ai montrée l’autre jour, quand ton jeune ami m’épiait derrière la porte. Je l’ai vu. Viens me sucer le clito et me pincer les seins.

     

    Spectateur attentif, j’assiste à une partie entre femmes. Josée s’est accroupie et passe sa langue sur le clito de Lili pendant que celle-ci a saisi les mamelons de son amie et les fait tourner dans ses doigts. J’ai pris ma bite et la branle, curieux devant cette démonstration de minette. « Prends-en de la graine », pensai-je. Josée s’interrompt pour reprendre haleine et m’aperçoit. Elle se relève, prend Lili dans ses bras et la pousse sur le lit. Celle-ci se couche sur le dos, les cuisses largement écartées. Elle me toise en souriant.

     

    • — Regarde-moi, me dit-elle, je vais te montrer comment je me fais jouir avec mes doigts. En même temps, toi, tu te caresses la bite à deux mains. Regarde-moi faire, ainsi plus tard tu pourras donner des conseils aux femmes que tu rencontreras et qui auront des complexes. Tu vois comme mes doigts vont vite sur ma chatte. Mon clito est tout gros, tout sorti de sa gaine. Branle-toi bien et donne-moi ta bite quand elle coulera doucement. J’aime bien le jus salé qui sort d’un gros mandrin comme le tien.

     

    Sans rien dire, Josée ne veut pas être en reste, s’est approchée de moi, prend ma bite en main et en même temps, se caresse le clito comme Lili. Je pose ma main sur sa chatte et enfonce résolument un doigt dans son vagin tout mouillé. Lili se branle de plus en plus vite et je sens Josée qui se met à trembler. Elle va jouir, c’est certain. Elle se retient pour attendre Lili qui soudain se cambre sur le lit. Puis elle s’arrête.

     

    • — À trois, ce sera mieux. Viens te coucher, me dit-elle, toi aussi, fait-elle à Josée, qui me pousse sur le lit et se couche contre moi.
    • — Essayons le triangle. Je l’ai déjà fait avec mon mari et ma sœur. Tu verras, c’est gai et excitant. Ne bouge pas.

     

    Je reste immobile, étendu, comme Lili me l’a demandé. Elle se couche sur moi et me présente sa chatte à lécher puis invite Josée à sucer ma bite tandis qu’elle pose sa bouche sur la chatte de son amie. Nous formons ainsi un trio de suceurs qui s’en donnent à qui mieux mieux. La bouche de Josée a englouti entièrement ma queue et je fais de mon mieux pour exciter le clitoris de Lili durci comme une petite noisette rose. Elle râle, je grogne, Josée gémit bruyamment. Ce ne sont que mots sans suite, paroles obscènes où il est question de bite, de cramouilles, de clitos. Soudain, tout bascule. Josée hurle de plaisir, Lili pousse un long cri d’amour tandis que je grogne plus fort en déchargeant mon foutre dans la bouche de Josée qui retombe sur moi, en me criant qu’elle jouit comme une folle. C’est un grand concert de cris, de gémissements, de râles, de grognements, de longues plaintes d’amour, de hurlements de jouissance.

     

    Bizarre, je ne débande pas. Ce que voyant, Lili se tourne et tout en recommençant à sucer la chatte de Josée qui en redemande, elle m’attire sur elle et plante ma bite raide dans sa chatte trempée de sa mouille.

     

    • — Vas-y ! Vas-y ! Baise-moi fort. Oui ! Oui ! Oui ! Je te sens bien. Tu es gros, tu es fort dans ma moule. Baise-moi vite. Fais-toi bien aller, je sens que je vais encore jouir.

     

    Je me fais aller en elle comme un fou et soudain, elle m’enlace en hurlant. Je me retire avant de décharger et me couche sur Josée qui n’attendait que cela. Je la pénètre jusqu’à la garde. Elle aussi se met à hurler. Je bouge à toute vitesse et sans m’attendre, Josée se cambre en criant.

     

    • — Ça y est, mon chéri. Je jouiiiiis, je jouiiiiis ! Aaaaaaaaaaah ! Reste en moi, décharge ton jus dans ma moule, j’ai envie de sentir ton jus en moi.

     

    Je jouis brutalement et vide mes couilles dans sa moule. Nous retombons tous les trois sur le lit, épuisés par cette partie de jambes en l’air. Au bout d’un moment, Josée et Lili se relèvent et me regardent d’un air satisfait.

     

    • — Tu es vraiment un chef, dit Lili, je te prédis un brillant avenir de baiseur. Josée avait raison quand elle me parlait de toi. J’ai envie de recommencer un autre jour. Aujourd’hui j’en ai pris assez et je crois que je penserai à toi cette nuit. Si cela peut te faire plaisir, je me caresserai la chatte et me ferai jouir en pensant à toi. Cela m’arrive d’ailleurs souvent quand je suis seule dans mon lit et que j’ai envie. Fais la même chose en pensant à moi. D’accord ?
    • — Pourquoi pas, après tout ! De toutes façons, je rêverai que je mets ma bite dans vos moules. Vous êtes contentes ?
    • — Oh oui ! répondirent-elles en chœur.

     

    Toutes les semaines jusqu’à ce que j’aie eu terminé mes études, je passais deux après-midi à faire les comptes et à parfaire avec elle mes connaissances dans l’art amoureux. Bien sûr, Lili était quelquefois de la partie, et j’en étais bien content parce qu’elle était une super chaude, mais c’est avec Josée que je me plaisais le plus. Pendant deux ans et demi, sauf pendant les vacances d’été, j’ai eu ma ration de plaisir et mon initiatrice devenait de plus en plus exigeante en matière de baise, à ma grande satisfaction d’ailleurs. Je n’eus pas à me plaindre et ce furent pour moi parmi les belles années.

     

    Je l’ai revue quelques années plus tard. Elle avait eu deux enfants mais était restée élégante. Nous avons refait l’amour comme autrefois avec le même plaisir car elle n’avait rien perdu de ses talents. Elle restera un de mes meilleurs souvenirs de jeunesse.

     

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter