Ah, je vois que tu es sur mon blog.Je vois ce que tu veux dire en ta pensée. C’est comme si tu voulais vraiment capter l’attention de la personne, te rapprocher d'elle tout en lui livrant un message fort et réfléchi, presque avec une certaine douceur et une assurance discrète. Un peu comme si tu lui soufflais des mots,sans vouloir écrire tout en ayant ce geste presque imperceptible, mais très présent, de remettre tes cheveux en arrière. C’est l’idée,que t'as non?<br /> Tu pourrais dire quelque chose comme :j'm ton blog<br /> "Tu sais, cette histoire, elle me fait penser à quelque chose.TOI!... C’est comme un avertissement…LAISSE MOI  comme si tout ce qu’on veut parfois, c’est contrôler, dominer, tout posséder. Mais à force de vouloir tout maîtriser, on finit par tout détruire comme ètre amie. On ne peut pas tout contrôler, c’est impossible. La vraie force, elle est dans l’équilibre, dans la sagesse de reconnaître nos limites, de respecter ce qui nous dépasse. Tu comprends ce que je veux dire ?"<br /> Tu vois, tu vois et tu lis mes discution calme et sage c’est à la fois une discussion calma et profonde<br /> mON Smarphone, mais avec une touche d’intimité et de conviction, comme si je l’amenais à réfléchir à des propres de mon choix et à l'importance du respect des limites.<br />  

Il était une fois, dans un royaume lointain, une cité appelée Athelis. Ses habitants étaient connus dans tout le monde pour leur sagesse et leur savoir. Ils avaient découvert l'art de modeler des pierres étranges, des pierres qu'ils appelaient lumières. Ces pierres étaient leur trésor le plus précieux. Chaque pierre possédait une connaissance ancienne, et en les assemblant, les Athéliens pouvaient déchiffrer les mystères de l'univers. Ils avaient atteint un tel niveau de maîtrise qu'ils semblaient pouvoir façonner la réalité à leur guise.<br /> Les années passèrent, et Athelis devint une cité inégalée en grandeur. Les pierres, lumineuses et parfaites, ornaient chaque bâtiment, chaque monument, chaque temple. Les plus grands penseurs et architectes s'y réunissaient pour explorer toujours plus profondément les pouvoirs de ces pierres.<br /> Mais à mesure que leur savoir grandissait, leur désir de tout comprendre et de tout maîtriser se fit plus insatiable. Ils voulaient connaître les secrets de la vie elle-même, défier les lois de la nature, repousser les limites de la mort. L’obsession de leur perfection les rendait aveugles à un danger invisible.<br /> Un jour, un groupe d'érudits, trop confiants dans leur savoir, tenta de réunir toutes les pierres en un seul et unique artefact, une pierre ultime, capable d'offrir à l'humanité le pouvoir absolu. Ils croyaient que cette pierre pourrait leur accorder l'immortalité, la sagesse infinie, et la domination éternelle.<br /> Mais ce qu'ils ignorèrent, ou choisirent d'ignorer, c’est que ces pierres n’étaient pas seulement des réceptacles de sagesse : elles étaient aussi des témoins du chaos. Chaque pierre avait un équilibre fragile, un équilibre que les Athéliens avaient eux-mêmes appris à respecter au fil des siècles. En cherchant à unifier ces forces, ils brisèrent cet équilibre.<br /> Ce fut la catastrophe. Une explosion de lumière, si vive et puissante qu’elle engloutit toute la cité, laissant derrière elle un désert de ruines. Les pierres, autrefois symboles de sagesse et de beauté, étaient désormais réduites en poussière. La civilisation d’Athelis, aveuglée par sa propre arrogance, avait cherché à toucher les étoiles et s'était écrasée dans l’abîme.<br /> Aujourd’hui, les rares voyageurs qui osent s’aventurer dans les vestiges de cette cité sussurrent des légendes sur ce qui fut. Ils trouvent parmi les ruines des fragments de pierres brisées, des témoins muets d'une époque où l'ambition démesurée mena à la perte d’un savoir pourtant magnifique. Et ainsi, les ruines d’Athelis ne sont plus que des échos d’une civilisation brillante, engloutie par sa propre lumière.<br />  

Les Cendres de Felisia - Les Tirants du Feu<br /> Sur un monde dévasté, où l’ombre de la guerre plane constamment, la Cité de Felisia s’effondre lentement sous le joug d’un tyran sans égal : Draxos, le Chat Cracheur de Feu. Ce jeune caporal, plus impitoyable que son prédécesseur Sophros, a instauré un régime de terreur, un empire où l’intolérance règne en maître. Les Tirants du Feu, son armée d’élite, n’ont qu’une seule règle : "Seul ce qui se ressemble peut survivre." Ces soldats fanatiques poursuivent leur objectif de purification à travers des rituels sanglants et des massacres sans fin.<br /> Felisia, autrefois un foyer de diversité et de cultures multiples, est désormais réduite à un champ de cendres, ses habitants écrasés par une idéologie mortifère. Les derniers crocs de la civilisation s’achèvent dans l'indifférence de ceux qui ont choisi de fermer les yeux sur l’horreur. Ceux qui sont jugés étrangers — que ce soit par leur origine ou leurs idées — sont capturés, torturés et souvent exécutés dans des rituels macabres comme le Garde-Manger Festif, un banquet où l’on dévore les ennemis, symbolisant l’unité au prix du sang.<br /> <br /> L’Ombre de Draxos et l’Exil<br /> Draxos, bien qu'apparaissant invincible, cache un secret  : une ombre qui grandit en lui, une peur irrationnelle de l’échec et du chaos. Cette peur se cristallise dans son désir de contrôler non seulement son monde, mais toutes les dimensions. Une rumeur mystérieuse court dans les couloirs sombres de Felisia : le pouvoir des dimensions. Certains parlent d’un être dimensionnel, Azhrak, qui pourrait déstabiliser son empire. Cet être, un voyageur des dimensions, représente pour Draxos la plus grande menace, errante dont le pouvoir pourrait détruire son fragile royaume de terreur.<br /> Dans sa quête de pureté, Draxos envoie ses meilleurs guerriers pour trouver Azhrak et l’éliminer. Mais l’esprit de Draxos est déjà altéré par ses actions cruelles, et il commence à se perdre dans une lutte intérieure. Draxos commence à se dissoudre, se perdre dans l’obscurité, car il ne peut pas échapper à la vérité de ses propres actes. Il ignore que le véritable exil qu’il subit est celui de son propre esprit, un exil vers la folie. Son empire vacille sous la pression de son doute intérieur, et la peur de l’effondrement se répand parmi ses tirants.<br /> <br /> La Révolte de Miaouros et l’Héritage des Tirants<br /> De l'autre côté de Felisia, loin des ruines de la capitale, une résistance se forme. Miaouros, un groupe de rebelles mené par l’ancienne générale Sélis, lutte pour renverser Draxos. Cette rébellion, bien qu'inférieure en nombre, trouve sa force dans la diversité des peuples et des cultures qu'elle défend. Miaouros n’est pas seulement une résistance armée, c’est un symbole de l’espoir, de la rédemption, de l'unité opposées à la haine.<br /> Mais les rebelles savent qu’ils ne peuvent pas lutter uniquement avec des armes. Azhrak, l’être venu d’un autre monde, devient leur allié. Son pouvoir est celui des dimensions, et il pourrait être la clé pour défaire Draxos et ses Tirants du Feu. Sélis, au fur et à mesure que la rébellion gagne du terrain, découvre des secrets sur l’histoire de Draxos. Elle apprend que l’ascension du tyran est en grande partie due à une ancienne prophétie : l’Héritage des Tirants, un groupe de guerres et de tortures, destiné à détruire toutes les cultures étrangères et à instaurer une domination absolue. Mais cette prophétie cache aussi la possibilité d’une chute, d’un basculement de l’ordre établi, si les justes s’unissent contre lui.<br /> <br /> La Guerre des Dimensions et le Chant du Chat Cracheur de Feu<br /> À mesure que la résistance s’intensifie, la réalité elle-même commence à se fragmenter. Azhrak ouvre des portails dimensionnels, permettant à des peuples de différents mondes d'entrer en guerre aux côtés des rebelles. La Guerre des Dimensions se déclare alors, un combat sur plusieurs fronts où chaque dimension devient un terrain de bataille. Draxos, au fil des batailles, voit ses pouvoirs s’effriter. Les portails dimensionnels ouverts par Azhrak bouleversent ses stratégies et lui rappellent la fragile nature de son empire. La réalité elle-même semble se fissurer sous l’effet de cette guerre cosmique.<br /> Dans un ultime acte de défi, Draxos, dans un accès de rage, tente de détruire tous les portails, espérant ainsi restaurer son contrôle sur Felisia et le destin de ses peuples. Mais à chaque tentative, il se rapproche de son propre exil, un exil vers un vide qu’il a lui-même créé. L’âme de Draxos, perdue dans la tourmente, se déchire davantage, et la guerre se transforme en un cycle sans fin, un chœur de violence et de désespoir.<br /> Le Chant du Chat Cracheur de Feu résonne encore et encore alors comme une malédiction, le bruit du feu en une chanson qui brùle une feuille qui veux raconter les derniers instants de la tyrannie. Le chant de feu qui est un symbole de puissance, se transforme en une mélodie de désespoir, car même Draxos comprend qu’ils sont pris au piège et ne peuvent plus s'échapper à son propre déclin. Ses Tirants, qui sont ses instruments de sa domination, commencent à douter de lui, se demandant si la voie du tyran est la seule voie possible. La chute de Felisia semble inévitable, mais dans cette chute se cache peut-être la possibilité d’une renaissance, d’un monde nouveau, forgé par ceux qui ont survécu à la guerre….<br /> LA SUITE…….C'est à vous de le décrire car vos écriture peu rencontrées votre exposé de bien écrire la suite et çà dépendra de vous-mème l'explorateurs venu de loin en ce portail solaire.<br />  

Draxos, le Chat Cracheur de Feu<br /> Dans un futur lointain, sur le monde fracturé de Felisia, un jeune caporal, Draxos, monte en puissance, poussant sa nation vers une guerre sans fin. Surnommé "le Chat Cracheur de Feu", il est plus impitoyable que son prédécesseur, Sophros, et incarne une idéologie radicale : un monde sans tolérance pour ceux qui viennent d’ailleurs. Seuls les siens méritent de vivre, et toute forme de diversité est perçue comme une menace à éradiquer. Autour de lui, une élite, les Tirants de Sa Génération, l’accompagne dans ses actes de terreur. Ensemble, ils partagent une règle sans pitié : "Seul ce qui se ressemble peut survivre."<br /> La guerre que mène Draxos est cruelle, et les étrangers qui osent pénétrer le territoire de Felisia sont capturés, soumis à des atrocités dans un rituel macabre appelé le "Garde-Manger Festif". Là, des prisonniers sont dévorés vivants pour le plaisir des Tirants, une tradition d’un autre âge qui symbolise le rejet absolu de toute forme de différence. Dans ce monde, il n’y a pas de salut pour ceux qui n’appartiennent pas à la nation de Draxos. Le silence, le mépris, l’isolement : tout ce qui est extérieur est voué à être écrasé.<br /> Mais un jour, une nuit, un événement étrange bouleverse l’ordre établi sur la planète Miaouros. l'humainsme débarqua….<br />  <br />  

Ah, je sais que t'as lus cette idée génial<br />  comprends tu mieux maintenant !<br /> Toi qui souhaites ètre que cette jeune fille, ambitieuse et pleine de rêves<br />  soit une capitaine de ce voyage spatial, et qu'elle ait aussi cette capacité à attirer et à rassembler des personnes, comme des amies sur Eklablog, pour t'accompagner dans cette aventure. C’est une idée super intéressante, et je vois comment elle pourrait prendre forme tes textes.<br /> Lance-toi<br /> rèvons-nous.