-
Par EMOSIONEAU dans Accueil le 13 Juillet 2018 à 00:39
Je ferme mes yeux, mon téléphone affiche minuit. Demain est un autre jour. Un autre jour où je vais encore me perdre, où je vais peut-être trouver des réponses, mais aussi en créer de nouvelles questions. Je stresse déjà. J'espère être avec ma bande. Ils sont mes amis, ceux qui me connaissent sans juger, ceux qui me suivent dans les moments sombres et les moments légers. Nous formons un groupe inséparable, mais parfois, on se perd dans nos bêtises. C’est un peu ça, la jeunesse, non ? Faire des erreurs, mais se relever toujours, ensemble.
Je suis partie loin de mon ancienne vie, loin de cette misère, loin de ce monde qui m’étouffait. Parce que tout ça, je ne pouvais plus le supporter. Mais aujourd'hui, je sens que je suis prête. Je suis prête à vivre ce qui vient, même si ce n’est pas parfait. J’ai rencontré d’autres personnes. Des gens qui m’ont montrée que la vie n’était pas toujours cette quête effrénée de plaisir. Que parfois, la souffrance et la douleur, ça fait partie du chemin. Et qu’il ne faut pas avoir peur de ça. Parce que c’est dans cette souffrance que l’on se forge, que l’on trouve sa vraie liberté.
Les mauvaises expériences… je les ai eues. Ce garçon que j’ai aimé depuis des années, je l’ai vu disparaître dans un tourbillon d’illusion. Il a été ma première fois, il a été ma première douleur aussi. Fumer un joint avec lui, c’était comme vouloir échapper à ce que j’étais vraiment. Et ma première fois avec lui, ce n’était pas comme je l'avais imaginé. C'était rude, flou, une expérience où j'ai cru que je me perdais. Mais j'ai appris à vivre avec ça. La douleur m'a fait grandir, mais ce n'est pas ce que je voulais au départ. C’est un autre moment que j’ai dû accepter.
Mais comment y arriver autrement ? Comment se libérer des chaînes qu’on s’est nous-mêmes mises ? Je ne savais pas. Et pourtant, je l’ai fait. À force de me perdre dans ce garçon, j’ai compris qu'il fallait une carapace. Il m’a appris à protéger mon cœur, à ne plus laisser tout le monde l’approcher. Il m’a fait croire que c’était ça, l’amour. Mais, au fond, ce n'était qu’un leurre. À chaque fois que je croyais que je pouvais m’en sortir, il était là, prêt à me faire tomber à nouveau.
J'ai vécu des hauts et des bas, bien sûr. Qui n’a pas vécu des moments où tout semblait sombre, où on ne savait plus qui on était ? La vie n’a jamais été simple. Mais je suis encore là, et j’ai trouvé ma voie. Parce que même si la douleur était présente, il y a eu ces instants de liberté, ces éclats de lumière où je sentais que, pour la première fois, je n’étais plus enfermée. Je me sentais vivante. Vraiment vivante.
Et aujourd’hui, ma vie ne se résume plus à tout ça. Je ne suis plus celle que j’étais. J’ai choisi de me libérer, de vivre pour moi. Pas pour ce que les autres attendent de moi. Pas pour ce que ce garçon attendait de moi. J’ai choisi de vivre ma vie, de sentir ma liberté. Parce qu’au fond, c’est tout ce que je voulais.
Tu sais, je n’ai pas besoin de tout ça. Ni des autres, ni de cette image que j’ai renvoyée pendant si longtemps. Je veux juste vivre, respirer, être moi, libre de tout. Et c’est tout.
Tu as aimé ? Alors aime…
PS : Il faut aimer, pour moi. Merci si tu acceptes. Et bonne soirée.
-
Par EMOSIONEAU dans Accueil le 13 Juillet 2018 à 00:26
L’histoire de Jules, à la recherche de jouissance
Jules vivait dans un monde qui semblait constamment l'ignorer. Chaque jour, il se sentait plus écrasé par la réalité. Ses rêves, ses passions, ses émotions étaient comme des trésors cachés qu’il n’arrivait pas à offrir au monde. Il vivait dans une sorte de cage invisible, un endroit où il était sous-estimé, ignoré, comme un billet de banque froissé que l'on néglige et jette, sans même y penser.
Mais, au fond de lui, Jules avait cette envie brûlante : il voulait vivre, goûter à la jouissance de la vie, ressentir cette euphorie intense qui viendrait de la reconnaissance de sa véritable valeur. Il rêvait d'un instant où il serait vu pour ce qu'il était vraiment, où son existence ne serait pas un simple détail parmi tant d'autres.
Un soir, alors qu’il se trouvait seul dans son appartement, il se regarda dans le miroir. Il ne pouvait plus supporter cette sensation de vivre dans l’ombre. Il se leva brusquement, le cœur battant, les mains tremblantes. Il se rendit dans la rue, sans but précis, juste un besoin de ressentir quelque chose de plus fort, de plus vivant.
Il aperçut alors un groupe de personnes qui riaient, échangeaient des regards complices, et au centre, une femme dont le sourire brillait comme un phare. Elle semblait exister dans un autre monde, un monde où tout était possible, où la joie et la jouissance étaient accessibles. Il se sentit attiré par cette énergie, comme si sa propre lumière, cachée depuis trop longtemps, pouvait enfin se révéler.
Il s’approcha sans y réfléchir, attiré par cette femme et par ce qu’elle représentait. Elle le regarda et, sans dire un mot, lui offrit un sourire. Un sourire qui, pour la première fois, lui donna l’impression d’être vu, d’être désiré, d’être une partie importante de quelque chose de plus grand. Ce sourire ne le faisait pas seulement se sentir reconnu, mais aussi vivant, entier. C’était un instant d’extase, une jouissance pure qui le libérait de ses chaînes invisibles.
Dans cet instant suspendu, Jules sentit qu’il n’avait plus besoin de prouver sa valeur. Il la ressentait déjà. Il se rendit compte que la jouissance ne venait pas de l’approbation des autres, mais de sa propre capacité à s’accepter et à s’épanouir. C'était dans la liberté de se donner à soi-même sans attendre l'approbation des autres. C'était dans cette joie intime de savoir qu’il était digne de la vie, digne d'une jouissance qui ne dépendait de rien d'autre que de lui-même.
Il décida de quitter ce groupe, mais son esprit était désormais en paix. Il n’avait plus besoin d’être vu par tous, mais par lui-même. La jouissance, il l’avait trouvée, et elle ne dépendait plus d’une validation extérieure. C’était celle de son propre être, de ses propres désirs. Le reste, il le laissait derrière lui.
-
Par EMOSIONEAU dans Accueil le 13 Juillet 2018 à 00:25
Liberté et Confiance
Bonsoir, désolée si je te dérange, mais accepterais-tu un échange ? Si oui, commence et mets : "Tu sais comment je m'appelle… Je suis âgée de 18 ans, ou pas, peu importe. Je suis comme je suis la plupart du temps. Un peu à part, souvent perdue dans mes pensées. J'ai vécu des hauts et des bas, des expériences bonnes et des expériences moins jolies, mais aussi quelques mauvaises qui m'ont marquée. Ma vie ne se résume pas à Sexe, Drogue et Alcool, comme la plupart des jeunes me le disent parfois. Non, ma vie, elle est plus que ça. Simplement, je vis. Je me sens libre. Libre de faire ce que j'aime, d'explorer, de respirer.
Depuis des années, j'ai aimé le même garçon que toi, celui qu'on ne peut pas oublier. Mais lui, il m’a appris à me construire, à me protéger. Et à force, j'ai forgé une carapace, comme toi. Je sais que toi aussi, tu te caches derrière cette image de dureté, mais au fond, on sait bien que ce n’est qu’une façade. Parce que, à force de chercher la liberté, on finit par se perdre parfois.
La plupart du temps, les mauvaises expériences ont été faites avec lui, ce garçon qui m’a fait découvrir des choses que je n’étais pas prête à affronter. Comme fumer un joint pour la première fois, ou encore faire ma première fois avec lui, dans ce moment où le monde semblait tourner différemment. Tout ça m'a laissée un peu perdue, un peu brisée. Pourtant, malgré tout, il reste une partie de moi, une époque que je ne peux oublier.
Mais aujourd'hui, je suis partie loin de mon ancienne vie. Je me suis éloignée de cette existence misérable qui ne me convenait plus. J'ai rencontré de nouvelles personnes, des personnes qui sont devenues mes amis, qui m'ont montrée que la vie ne se résume pas à ces moments sombres. Et tu sais quoi ? Ce groupe d’amis, on forme un tout. On est inséparables. On s’éclate ensemble, on partage nos peines, nos rires, nos rêves. On fait aussi quelques conneries, bien sûr. Mais qui n’en fait pas, hein ? Après tout, c’est ça qui fait partie de la jeunesse. Apprendre de ses erreurs, se relever à chaque chute.
Demain, c’est un autre jour, un jour où j'espère être entourée de ma bande. Je stresse déjà un peu, tu sais. Parce que demain, on va encore vivre une aventure, peut-être une autre folie, un autre moment d'extase. Je regarde mon téléphone, il est minuit. Le silence est lourd dans ma chambre. Je décide de me coucher. Je ferme mes yeux, pensant à tout ça, à tout ce que j'ai traversé. Puis je m'endors, dans l’espoir de me réveiller prête à continuer. Prête à vivre encore.
Tu as aimé ? Alors aime…
PS : Il faut aimer, pour moi. Merci si tu acceptes et bonne soirée.
- JOUIBRULANCE
-
Par EMOSIONEAU dans Accueil le 13 Juillet 2018 à 00:13
tu veux te rejouir ......lis la Lettres pour la jouissance