• Bonjour à tous ! Je suis Dame Isis, mais vous me connaissez aussi sous le nom d'Ailes de Pluie ou d'Étoiles de Lionne. Merci pour les membres qui me suivent ...

     

    aucun commentaire
  • L’histoire de "Deviner"

    Devine ce que je fais là !… Tac ! Tac ! Tac ! … Huuuummm !!! Regarde bien là ! Il est là !… Regarde, juste devant toi, chaque mouvement assourdissant, chaque geste qui semble être une invitation… Regarde, c’est un mystère à résoudre. Tac, tac, tac… Il s’approche lentement, car je marche tout doucement, mais j’accélère le pas à grande vitesse, sans presser ma tête, mais avec la certitude de trouver un but précis… Huuuummm !!!

    Devine ce que je regarde… Tac, tac, tac… Il continue, inchangé. Comme un grand saut, il avance, il se loge au centre, sur les deux boules pleines, il ne s’arrête jamais de se balancer… Huuummm !!! Regarde ! Il est là ! Il avance, toujours plus près. Chaque geste est calculé, il me regarde droit dans les yeux. Et toi, tu es là, à observer, à deviner où il va aller, où il nous mène, là où tu veux.

    AAAaaaaahhh !!! Devine, devine, devine… Il arrive à grands pas, poursuit son chemin, il n’arrête pas. Chaque geste qu’il donne, chaque mouvement, est une réponse partielle à l’énigme, mais jamais complète. Comme si chaque action était une nouvelle pièce du puzzle, comme si chaque action se détachait de plus en plus, comme une nouvelle image à assembler. Chaque pièce, chaque mouvement, disperse un peu plus l’énigme, comme des morceaux d’images qui flottent autour de toi, prêt à être reliés. Tac, tac, tac… encore et encore. Ces pièces s’éparpillent, mais tu les vois. Elles prennent forme dans ton regard, explosent dans ton esprit, prêtes à se rassembler dans une image finale, une image façonnée par ton regard explosif, intense.

    Le secret ? C’est comme remuer doucement une carotte, un concombre, une courgette… Chaque légume, chaque texture, est un indice. Lentement, tout se mélange, rien n'est précipité. Chaque changement, chaque mouvement te rapproche un peu plus, mais la vérité reste floue. Lisse, ferme, puis doux sous les doigts. Chaque action te rapproche d’un peu plus de ce secret bien gardé, mais il reste insaisissable.

    Tac, tac, tac… À chaque geste, tu t’approches du centre, du cœur de l’action. Chaque coup donné, chaque mouvement, fait partie du jeu, et toi, tu ne peux que deviner où cela te mène. Hummm…

     

     

     

    L’histoire de "Deviner"

    Lui (d'un ton bas, presque chuchoté, les gestes lents et mesurés)
    Devine ce que je fais là… Tac ! Tac ! Tac… Huuummm… regarde bien… regarde attentivement… C’est un jeu, tu vois ? Chaque mouvement, chaque son, chaque geste, est un indice. Un mystère que tu dois résoudre. Tac, tac, tac…
    (Il fait un pas, puis un autre, s'approchant doucement, avec une lenteur exaspérante.)

    Elle (ses yeux suivent chaque mouvement, intriguée, presque hypnotisée)
    Je vois… mais je ne sais pas encore où tu veux m'emmener. Il y a quelque chose dans la manière dont tu bouges, comme si tu cherchais à me manipuler… Tu veux que je devine quelque chose, n’est-ce pas ? Mais je n’arrive pas à saisir où ça nous mène.

    Lui (avec un sourire en coin, le regard fixe et pénétrant)
    Exactement… tu cherches, tu veux savoir. Mais chaque mouvement, chaque geste, est une réponse… ou une question. Tout est dans la manière dont tu choisis de le voir. Tu veux une vérité immédiate, mais le plaisir de ce jeu réside dans l’attente, dans l’incertitude. Il te faut t’abandonner à cette incertitude, accepter de ne pas savoir tout de suite. L’énigme se dévoile, mais à son propre rythme. Tac, tac, tac…
    (Il avance encore, sans se précipiter, comme s’il savourait chaque moment de tension qui monte entre eux.)

    Elle (fronçant légèrement les sourcils, sentant l’intensité augmenter, mais gardant son calme)
    Tu sais, j’ai l’impression que tu essaies de me pousser à un certain point… Comme si chaque geste avait une signification secrète que je dois comprendre. Mais je refuse de jouer exactement comme tu le veux. Peut-être que j’ai envie de faire mes propres règles…
    (Son ton devient plus audacieux, comme si elle commençait à sentir la tension, à jouer le jeu elle aussi.)

    Lui (légèrement amusé, mais toujours aussi mesuré)
    Tu crois que tu peux contrôler ça ? Chaque geste, chaque mouvement que je fais est calculé, conçu pour te faire réagir. Mais la question est : jusqu’où es-tu prête à aller pour comprendre ? Parce que dans ce jeu, il n’y a pas de retour en arrière…
    (Il s’arrête brièvement, attendant une réaction, sa présence maintenant plus palpable.)

    Elle (ses yeux brillant de défi, son souffle légèrement plus rapide)
    Tu me sous-estimes, je crois… Je sais que tu cherches à me pousser dans une direction, à m’amener à la limite de ce que je veux… mais tu oublies une chose : je suis aussi capable de jouer ce jeu. Et peut-être que, cette fois, c’est moi qui vais déterminer où tout cela nous mène.
    (Ses mains effleurent lentement l’air, comme pour marquer chaque mot prononcé, chaque intention.)

    Lui (un léger ricanement, avant de reprendre avec une voix plus grave, plus intime)
    Tu crois ça, vraiment ? Peut-être que tu es plus en contrôle que tu ne le penses. Ou peut-être que tout cela est une illusion. Peut-être que dans ce jeu, le contrôle est aussi fluide que l’air que l’on respire… Et il est bien plus intéressant de se laisser porter, de céder à la tentation d’aller toujours plus loin. Mais ça, c’est toi qui décides… Tac, tac, tac…
    (Il avance d’un pas plus proche, brisant la distance entre eux, l’énergie électrisante entre leurs corps palpable.)

    Elle (mouvement subtil, un frisson qui parcourt sa peau, mais elle ne fléchit pas, défiant son regard)
    Tu sais, je pense que ce n’est pas moi qui dois décider. C’est toi… Mais plus tu insistes, plus tu perds ton emprise. C’est toi qui veux que je cède à l’incertitude… mais la vérité, c’est que je me sens plus forte à chaque instant. Parce que je sais que c’est toi qui veux cette réponse.
    (Sa voix devient plus douce, presque un murmure, mais elle est ferme dans sa déclaration.)

    Lui (son regard se fait plus intense, comme s’il la poussait à s’abandonner à l'intensité du moment)
    Alors, si c’est moi qui veux cette réponse, est-ce que tu vas me la donner ? Ou préfères-tu me faire courir après, m’attirer dans ce jeu sans fin où tu contrôles tout ? Parce que dans ce cas… tout ce que je fais n’est qu’une invitation à toi. Une invitation à franchir le seuil, à prendre cette dernière décision. L’énigme devient de plus en plus claire à chaque geste. Et chaque mouvement…
    (Il fait un mouvement lent, presque imperceptible, créant un contraste puissant dans l'air autour d'eux.)

    Elle (ses lèvres légèrement entrouvertes, un défi dans les yeux, mais un frisson de plaisir palpable)
    Chaque geste que tu fais me pousse à la limite de mon désir… Mais je sais que la réponse n’est pas encore là. Elle est en toi, tout près. Et peut-être que, au fond, tout ce que je dois faire… c’est t’amener à ce point de non-retour, là où tout se mélangera dans un dernier geste.
    (Sa voix devient plus basse, son regard se durcit, mais l'excitation, l'attente, demeure.)

    Lui (ses lèvres se tendent en un sourire, mais il ne cède pas, savourant le jeu entre eux)
    Alors, nous sommes arrivés au même point. Le jeu se termine quand tu choisis de le terminer. Mais ce moment… ce moment-là, où tout bascule, où la vérité éclate, tu devras le décider. Et je serai là… pour te guider, ou pour te laisser choisir ta propre voie.
    (Il se penche légèrement, prêt à observer sa réaction, l’atmosphère entre eux chargée de tension et de désir non dit.)

    aucun commentaire
  • La Rose 

     

     

     

     

     

     

    est seule dans le désert ...

     

     

     

    Enfin une poussière d'eau qui pourrait se déposer sur la rose

     

     

     

     

     

     Peut-être chassé avec un sèche-arrosette à petite vitesse d'en donner un air frais.

     

     

     

     

     

     

    Voilà ...

     

     

     

     

     

     

     

    Un peu d'engrais régulièrement et un bon arrosage et votre rosier à chaud ....

     

    aucun commentaire
  • La dernière grille de l'été

    C'était la fin de l'été, et l'air frais du matin apportait un léger frémissement. Claire et ses amis se retrouvaient chaque jour pour une pause bien méritée après des semaines de travail intense. Aujourd'hui, ils avaient décidé de jouer à un jeu simple, mais qui devenait de plus en plus fascinant : la grille de mots croisés.

    "Voici notre jeu de fin de l'été", annonça Claire en posant la grille sur la table, un sourire malicieux aux lèvres. "La grille de mots croisés, conçue à l'ancienne, sans logiciel ni algorithme ! Niveau : intermédiaire."

    Les autres se penchèrent sur la grille, les yeux brillants de curiosité. Il n’y avait ni smartphone, ni tablette, juste du papier et un crayon, un retour aux sources qui leur plaisait particulièrement. Pour eux, c’était bien plus qu’un simple jeu : c’était un moyen de se détendre, de faire une pause entre les obligations de la vie quotidienne.

    "Pour vous amuser le temps d'une pause", continua Claire, "12 Minutes vous propose de nouvelles grilles de mots croisés tous les jours."

    Les amis se mirent à travailler sur la grille, chacun prenant son tour pour résoudre une définition ou proposer un mot. Leurs rires ponctuaient l’air doux du matin, et au fur et à mesure qu’ils complétaient la grille, l'atmosphère se faisait encore plus légère.

    "Regardez, on a presque fini !" s'exclama Jean. "Et jouer en ligne est totalement gratuit, c'est parfait pour notre petite pause quotidienne."

    C’était une tradition maintenant, chaque jour, à la même heure, ils se retrouvaient pour remplir la grille de mots croisés. Et bien qu'ils fussent à la fin de l'été, ce jeu simple, mais captivant, avait transformé leur routine en un moment de complicité, de rires et de plaisir partagé.

    aucun commentaire
  •  

    Les Échos du Corps

    Mathilde s’installait tous les jeudis à 15 heures sur le divan de l’analyste. Le cabinet était baigné d’une lumière douce, filtrée par des rideaux épais, et les livres sur les étagères donnaient l’impression d’un savoir immuable. Mais pour Mathilde, ce lieu n’était pas une simple pièce : c’était l’arène où le désir se déployait dans toute sa complexité, où la parole et le silence se heurtaient sans cesse.

    Elle n’était pas une personne qui parlait facilement de ses émotions. Depuis son enfance, elle avait appris à contenir ses désirs, à les rendre muets. Mais il y avait quelque chose dans ce silence qu’elle ne parvenait plus à supporter. Ce quelque chose s’exprimait par des sensations corporelles, une gêne qui s’intensifiait à chaque séance, des frissons qui parcouraient sa peau sans raison apparente. Cela avait commencé subtilement : une douleur sourde, puis un malaise, une chaleur étrange qui montait dans son ventre.

    À chaque session, l'analyste, le regard calme et attentif, l’invitait à explorer cette sensation, à laisser la parole se frayer un chemin à travers le corps. Mais pour Mathilde, les mots semblaient si pauvres, si incapables de rendre compte de ce qu’elle vivait. La sensation d’être prise dans un tourbillon où le langage semblait s’effacer devant une pulsion indomptable. Elle n’arrivait pas à le dire, ce qu’elle ressentait, et pourtant, elle sentait que son corps en parlait d’une manière qu’elle ne pouvait comprendre.

    Un jour, après plusieurs mois de silence, Mathilde se laissa submerger. Elle était allongée sur le divan, les yeux fermés, quand une tension violente se manifesta dans son corps. Ses mains s’enfoncèrent dans le cuir, ses jambes se contractèrent, et un cri brisé s’échappa d’entre ses lèvres. Ce cri n'était pas un mot, mais une onde, une vibration qui semblait dépasser le cadre du langage. L’analyste ne bougea pas. Il attendit, comme s’il savait que ce moment était crucial.

    Elle s’arrêta, tremblante, le corps presque en apesanteur, tandis que l’analyste, d’un ton calme mais ferme, lui dit : « Vous venez de toucher à quelque chose de fondamental. Ce que vous venez de vivre, c'est un excédent, une jouissance qui échappe au sens. Vous êtes passée du dire au jouir. »

    Mathilde se sentit déroutée. Jouir ? Ce mot lui semblait étrange, presque déplacé, dans un contexte où elle avait toujours cherché à comprendre, à analyser ses pensées et ses sentiments. Pourtant, dans ce cri, elle avait senti son corps parler d'une manière qu'aucun mot n’avait pu saisir. Ce n'était pas un plaisir simple, pas un désir ordinaire. C'était une déchirure, une perte de contrôle, un effondrement de la structure de sa pensée.

    L'analyste poursuivit : « La jouissance n’est pas seulement ce que l'on exprime avec les mots. Elle est l’excédent de ce que vous pouvez dire. Elle est liée à ce qui échappe au symbolique, à ce qui reste dans le réel, ce qui ne se laisse pas saisir par le langage. »

    Cette révélation bouleversa Mathilde. Elle comprit que, jusque-là, elle avait cherché à articuler son désir avec des mots, comme si les mots pouvaient tout expliquer, tout résoudre. Mais la jouissance, dans ce sens, était une expérience qui défiait l’ordre du discours. Elle ne se laissait pas capturer. Ce cri, ce spasme, ce tremblement étaient autant de formes de jouissance qui se manifestaient là, dans son corps, en dehors des mots.

    Au fil des séances suivantes, Mathilde continua de vivre cette tension entre le langage et la jouissance. Elle ressentait de plus en plus souvent cette force qui montait en elle, ces vibrations qui s’échappaient sans qu’elle puisse les arrêter. L’analyste l’accompagnait dans cette exploration, sans jamais chercher à expliquer. Il était là, à l’écoute, dans ce rôle de miroir silencieux, acceptant cette jouissance qui n’avait pas besoin de mots pour exister.

    Un jour, alors qu’elle était presque arrivée à la fin de son travail avec lui, Mathilde se sentit prête à dire ce qui jusque-là lui échappait. Elle parla enfin, sans chercher à tout comprendre, mais avec une étrange certitude : « Je comprends maintenant que mon désir n’a pas besoin d’être formulé. Il est là, dans mon corps, dans ces moments où tout se dérobe. » Le silence qui suivit cette parole était lourd, plein d’une vérité nouvelle.

    Mathilde avait commencé à se réconcilier avec le fait que son corps et sa jouissance étaient des territoires qui n’étaient pas réductibles à des concepts, à des mots. Elle avait cessé de chercher à dominer son désir par la parole, pour l’accueillir dans sa forme brute et vibrante.

    • Ses mots 

      ce sont ses mots de manger


       

       ses mots en effet,gràce à elle j'au pu surmonter de nombreuses peurs car ses mots pèse en lui en parlant très important de parler avec SES mots

      SES mots qui fàche tant en pleurant, brutalement, grossièrement
       

      Le trousseau de clés qui va donc le modifier...le tourner de màcher tes mots,elle l'est aussi de ses mots. Dans son dernier ouvrage, Dialogues sous les remparts
       

      c'est une définition d'idée d'en découvrir les étapes indispensables pour bien choisir les mots clés et optimiser son référencement naturel sur les moteurs de recherche.

      pour apprendre a peindre les mots quand il fais froid de bien mesurer ses mots d'un échange à en perdre ses mots

      dans ses mots d'une dictée par jour.

      Faire le ménage dans ses mots de passe d'une bonne conjugaison,pénible mais indispensable dans la ville à travers ses mots et celle de tes mots

       
    •  

      Commentaires

       
      1
      Il y a 18 min   Supprimer le commentaire
       

     

     

    aucun commentaire